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NOS PAYSANS BIO

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Découvrez tous les paysans travaillant pour l'AMAP, leurs certificats bio et les produits qu'ils proposent. 
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Thierry Vallarino, maraîcher
 

Calme, bonhomme, généreux, Thierry est le sourire hebdomadaire qui accompagne ses paniers de légumes, aussi goûteux que frais arrachés ou cueillis. A La Cadière d’Azur où il est un des derniers maraîchers bio du département, il lui faut pugnacité et passion pour persévérer entre les aléas de la météo, les prédateurs à grandes oreilles, la convoitise immobilière et l’expansionisme viticole.
La qualité gustative de ses légumes alliée à leur fraîcheur fait l’unanimité des Amapiens.

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Bertrand Allais, céréalier

Dans ses champs de céréales, devant les meules de son moulin, dans la lueur des flammes de son four, c’est un passeur de Traditions  que l’on voit à l’œuvre. Sur son grand domaine de Rouvière Plane, Bertrand Allais cultive blés, légumineuses pour le régal de nos papilles mais aussi il met le pied à l’étrier aux jeunes vocations qui le croisent en offrant de partager l’hospitalité de l’atelier de panification construit de ses mains. C’est ainsi que chaque jour le four est allumé par un boulanger différent. Son four à pain est prêté aux jeunes talents à qui cet outil fait défaut pour exprimer leur savoir-faire. Bertrand Allais propose aux amapiens un contrat farines -céreales.

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Jean-Louis Allibert, éleveur

Agriculteur de père en fils depuis des temps immémoriaux, je me suis installé en 1989 sur la ferme familiale à Sainte Rose, hameau de Seyne Les Alpes, à 1200m d’altitude. Aujourd’hui, sur 120 ha, la ferme compte 32 vaches allaitantes de 12 races différentes, croisées avec un taureau Angus ou Blond d’aquitain. De la naissance à 6 mois, les veaux sont élevés sous la mère puis sevrés pendant 3 mois à l’étable, pour la transition alimentaire. Les veaux mâles sont abattus à l’âge de 4 à 6 mois. Les femelles sont élevées pour la vente de bœuf et le renouvellement du troupeau. Elles pâturent sur nos terres et dans les alpages pendant 7 mois, de fin avril à fin novembre, et sont à l’étable le reste de l’année. La nourriture hivernale est composée de foin, céréales et enrubannage (prairie enrubannée après 1 jour de séchage, de grande valeur nutritionnelle, qui se stocke dehors). Jean -Louis Allibert propose aux amapiens un contrat Boeuf et un contrat Veau

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Philippe Bilocq, arboriculteur-vigneron
 

A l’exception de cette année où il a repris un vieux verger de poires laissé à l’abandon, Philippe a planté depuis 20 ans tous les fruitiers qui prennent le soleil en surplomb de la Durance, au pied du massif de Céüse, au sud de Gap. Il récolte à la main et vend en direct 13 variétés de pommes et 7 variétés de poires et des coings pour le délice des palais qui se désaltèrent de son jus de pommes/coings. Philippe Bilocq propose aux amapiens un contrat Pommes et un contrat Fruits transformés

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Nicolas Bonifay, aviculteur
 

«Ancien rédacteur technique dans l’industrie, j’ai décidé à 40 ans de tout quitter pour reprendre le flambeau et faire suite à mon père et son père avant lui sur le terrain familial. Aujourd’hui, l’élevage représente toute notre activité. Fils et petit-fils de paysan, j’ai souhaité garder les traditions en proposant des produits de la ferme produits de façon artisanale, tels qu’on en trouvait autrefois. Nos poules sont élevées en plein air, libres d’entrer et sortir de leur poulailler et nourries exclusivement à base de semences issues de l’agriculture BIO ». Nicolas Bonifay propose aux amapiens un contrat oeufs sous forme d'abonnement.

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Thierry Boufflet, oléiculteur
 

« Je suis producteur d'huile d'olive depuis 2013, lancé dans la culture de l'olivier il y a 4 ans. Il s'agit pour moi d'une histoire familiale, non pas que mes ancêtres aient été des oléiculteurs, mais plutôt que nous sommes depuis 1450 dans des métiers en relation avec les arbres.
Des bucherons pendant des siècles, des menuisiers charpentiers plus récemment, et moi qui, sans connaître cette généalogie, avait décidé de construire une maison en bois, terre et paille respectueuse de l'environnement. J'ai choisi d'acquérir une petite plantation sur la commune des Mées, car c'est un terroir très adapté à la culture de l'olivier.
Les arbres à plus de 90% de type Aglandau donnent ce goût très particulier à l’huile brute.
Depuis 2015 je suis engagé dans une démarche de certification Biologique AB Ecocert ainsi qu'en AOP Haute Provence. Je suis membre de la Coopérative du Moulin des Pénitents, qui donne des résultats exceptionnels en terme de qualité gustative des huiles qui y sont pressées. » Thierry Boufflet propose aux amapiens un contrat huile d'olive et savon.

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Mathias Carel, éleveur-fromager
 

Pastoralisme et liberté sont les deux marques des Carel, père et fils, dont le troupeau de chèvres pâture les contreforts boisés du Jas des Vallons à La Roquebrussane ; le choix d’assumer des trajets quotidiens sur de mauvais chemins, tant pour aller soigner le troupeau que pour rapporter le lait, est une option écologique responsable. Persuadé que la biodiversité, la protection incendie du massif méditerranéen tirent bénéfice du défrichage opéré par les chèvres, Mathias, malgré la prédation du loup, milite pour que l’élevage pastoral, part essentielle de la qualité du fromage, soit soutenu.

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Céline Ceccaldi, safranière
 

Sur les contreforts du Garlaban, Céline perpétue la passion de son grand père qui cultivait déjà du safran ; non seulement elle remet en culture des restanques abandonnées mais elle s’évertue à transmettre son savoir et ses savoir-faire respectueux de l’environnement, tout en militant pour la promotion du Safran de Provence. Céline Ceccaldi, subtil cocktail de passion et de pédagogie ! Celine Ceccaldi propose aux amapiens un contrat safran et bulbes de safran et sirop de safran.

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Christine et Francis Chaix, éleveur-arboriculteur
 

L’activité comprend, outre les poulets et pintades, des vergers (pommiers, abricotiers, cerisiers, pêchers, cognassiers) cultivés pour le fruit et le jus, des oliviers cultivés pour l’huile d'olive et des céréales (blé, petit pois, tournesol) destinées à la consommation des volailles.
Témoignage (article de La Provence 21/03/11) : "Manosquin, Francis a repris l'exploitation familiale en 1982. Par habitude et savoir-faire, il met ses pas dans ceux de son père et fait de l'agriculture conventionnelle... "Quand on a pas mal d'amis agriculteurs malades, d'autres qui sont décédés, on a beau se mettre des oeillères, ça fait réfléchir."
En 1997, c'est le déclic. Toute l'exploitation passe en mode biologique ! Il leur a fallu 7 ans de conversion et ils n'ont obtenu le label qu'à la 4ème récolte. "Le bio, ce n'est plus le même travail. Être agriculteur, c'est aussi la satisfaction du travail accompli. Quand on fait du bio, on voit des gens qui ont bonne mine!… On continue d'apprendre, on trouve des systèmes comme celui de la volière pour fertiliser le verger et le nettoyer, je suis aussi des formations car, dans le bio comme ailleurs, il faut réfléchir avant d'agir ! Le bio demande beaucoup plus de surveillance."
Un chiffre d'affaires qui fluctue selon les saisons, les années avec ou sans fruits. Une chose est sûre, "dans le bio, il y a une vraie carte à jouer. On est moins impacté par le cours des matières premières, pétrole et autres produits chimiques." Christine Chaix propose aux amapiens des contrats "poulets", découpe de poulet" "pintades" et "volailles de Noel".

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Romain et Emmanuelle Chanoine, pisciculteur
 

La Pisciculture des Sources de Prelles se situe à Saint Martin de Queyrières, sur l'Iscle de Prelles, près de la Durance au pied de la Roche Baron, à 5 mn de Briançon en direction de Gap. Elle a été créée en 1964 par deux frères, Amable et Marcel CABANES. Dans la continuité de cette histoire familiale, Romain & Emmanuelle CHANOINE, ont repris la pisciculture en 2016. Romain est un passionné du monde des poissons depuis son enfance. Il sera content de vous parler des poissons (et de leur nom scientifique !).

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Marty Cousin, arboriculteur


"Je m’appelle Marty Cousin je suis jeune agriculteur installé depuis 2016 sur la ferme familiale située à Bruis dans le 05. Nous sommes deux à travailler sur la ferme, mon père et moi, mon grand père nous donne encore quelques précieux coups de main et notamment pour la surveillance du petit troupeau de vaches charolaises.
Nous travaillons sur une surface d’une cinquantaine d’hectares dont la majeure partie est constituée de prairie pour nourrir les charolaises, le reste de nos terres sont des vergers et des cultures de plantes à parfum, lavandes et immortelles. Nous avons une dizaine d’hectares d’arboriculture conduite en agriculture biologique depuis plus de 20 ans.
La saison des fruits commence début août avec les premiers abricots Bergeron et orangés de Provence, puis vient la coupe et la distillation de la lavande fine, ensuite nous enchaînons avec les prunes Reines Claude dorées, mirabelles et santa Clara (nous sommes très tardifs car nos vergers sont à 1000 m d’altitude environ). La saison des fruits à noyaux achevée, nous enchaînons avec la récolte des noix.
Avec les noix de petit calibre nous faisons une huile de noix de grande qualité. Pour ce qui est des noix, ce sont des Franquette et des Rondes de Bruis, qualité locale très savoureuse.​ Ce sont des noix de calibre 30 et 32. Elles sont triées par air avec un système de soufflerie ce qui permet d’éliminer les noix vides ou les cerneaux qui ne se sont pas développés correctement. Je garantie donc la qualité des noix." 

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Jérôme et Isabelle Denier, éleveur-fromager
 

Dans cette ferme située à 200 mètres du village de Selonnet, Alpes de Haute Provence, Isabelle et Jérôme élèvent deux races de brebis : les Mérinos d’Arles pour la viande, et les Lacaune, dont le lait est transformé depuis 2013 par Isabelle en fromages et yaourts nature au lait pasteurisé (réalisés à partir de lait entier de brebis sans aucun ajout de poudre de lait). L’été, les brebis Mérinos montent en alpages sur les parcours de Selonnet, Barles, Auzet et les Lacaune pâturent autour de la ferme. L’hiver toutes les brebis restent en bergerie où elles sont nourries avec le foin et les céréales récoltés l’été sur nos terres. Jérôme Denier propose aux amapiens un contrat laitage et fromages de brebis et un contrat agneau , abats et merguez de brebis.

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Nicolas El Battari, paysan meunier pastier
 

Nicolas, paysan-meunier-pastier, s'est installé en février 2018 en agriculture biologique à Meyrargues, chez et avec Philippe Robert (producteur de pommes de terre de Pertuis). Toutes les céréales utilisées pour ses pâtes sont cultivées et transformées par ses soins sur place.

Ses 2 objectifs principaux sont que l'activité soit la plus éthique possible et que les produits soient accessibles à tous au quotidien et de haute qualité nutritionnelle (riches en protéines, vitamines et sels minéraux).

Les céréales sont cultivées en agriculture biologique et sans labour afin de préserver la biodiversité présente dans les sols et de limiter la libération de gaz à effet de serre. Arrivés à la ferme, elles sont d’abord brossées, hydratées puis moulues par un moulin à meule de pierre du Tarn et rapidement transformées en pâtes.

Le séchage s’effectue à basse température pendant 24h, afin de préserver la qualité nutritionnelle des farines, dans un séchoir que Nicolas a lui-même construit.

Pour passer des céréales au paquet, cinq journées de travail sont nécessaires. L’atelier de transformation est conçu en matériaux écologiques ou locaux (containers maritimes, mélèzes des Hautes-Alpes, ocres de Roussillon...) et alimenté par des énergies renouvelables qu'il produit sur place (solaire et biomasse).

Les emballages sont en matériaux recyclés, compostables, imprimés avec des encres végétales et sans plastique. Nicolas  El Battari prose aux amapiens un contrat pâtes, semoule, huile de cameline et tournesol.

Franck Foussereau, éleveur fromager
 

J'ai repris la ferme de Jean avec ma maman en 1992. En 1997, je l'ai convertie à l'agriculture biologique puisque je me nourrissais comme ça.
En 2000, après le décès de ma maman, Béatrice, ma femme, est venur travailler sur la ferme. En 2006, j'ai commencé à construire un nouveau bâtiment pour améliorer le bien-être animal ainsi que nos conditions de travail. 2009 est une année particulière car nous avons monté les vaches dans le nouveau bâtiment et il y a eu la naissance de mon fils.
Aujourd'hui toutes nos bêtes sont aire paillée l'hiver avec de bonnes conditions de bien-être. Nous faisons de la communication animale et Béatrice soigne nos animaux avec le reiki et elle a de bons résultats. Je suis très vigilant quant à leur nourriture. C'est comme pour nous, si elles mangent de bonnes choses elles vont bien. En projet, nous avons un semis de céréales sur le 1er plateau jurassien. La ferme sur situe dans le haut Jura à 1000 m d'altitude. Je travaille avec l'Amap de Cogolin depuis 5 ans.
Notre atout est d'affiner notre fromage dans notre ferme sans passer par les affineurs. Cet affinage dure de 14 à 16 mois. Franck Foussereau propose aux amapiens un contrat comté.

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Christine Fra, lavandicultrice
 

Christine et Lionel Fra se sont lancés dans la culture de lavande après l’agression de leurs brebis par des loups. Toutes leurs terres ne sont pas cultivables en lavande, aussi ont-ils encore un petit troupeau et des cultures vivrières, mais la culture de lavande, puis sa transformation en hydrolat et huile essentielle leur permet de vivre et de survivre à la perte de leur troupeau. Sus aux moustiques grâce à Christine !

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Patrick Giannone, oléiculteur-arboriculteur
 

A La Penne sur Ouvèze, près de Buis les Baronnies, Patrick élève ses arbres : abricotiers, oliviers, tilleuls, transforme en nectar l’Orangé de Provence et en huile, quand la récolte est suffisante, ses olives de variété « tanche », qu’il nous fournit sinon en seaux conservées dans la saumure. Patrick Gianone propose aux amapiens un contrat olives, huile d'olive et abricots

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Marine et Sébastien Gohier, éleveurs
 

Eleveurs (naisseurs, engraisseurs et transformateurs) depuis 11 ans, dans une ferme des Hautes-Alpes, à presque 1000 m d'altitude, entièrement conduite en agriculture biologique, ils élèvent des chevaux, des porcs bio, et cultivent des céréales, des fourrages et des pommes de terre.
Les porcs, nourris de céréales et fourrages bio produits sur la ferme et d’aliments – mélange de céréales et protéines végétales - du Moulin Marion (01), sont élevés sur paille, et vivent en grande partie en extérieur avec accès permanent à des abris. Ils ne sont pas vaccinés, soignés en phytothérapie et complémentés en minéraux et oligo-éléments.
Le porc est découpé et transformé dans l'atelier du père de Sébatien, à 4 km de la ferme. Marine et Sébastien décident des aliments à fabriquer et des recettes, il fait la découpe et Marine l'emballage. Ils proposent aux amapiens un contrat "porc"

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Joran et Clémentine Gualchierotti, vignerons et producteurs de raisin
 

Après un diplôme d’œnologue, et plusieurs expériences dans des domaines viticole en France comme à l’étranger, Joran et Clémentine reprennent l’exploitation du grand père de Joran en 2022. L’exploitation est composée de 16 hectares situés au Sud du Luberon, sur les communes voisines de la Tour d’Aigues, la moitié de la superficie est plantée en raisin de cuve et l’autre en raisin de table. Le couple a donc aujourd’hui la double casquette : vigneron et producteur de raisin, mais avec un seul et même but produire de la qualité.

En cours de conversion bio
Le contrat Raisin de table
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Corinne Jaffeux, castanéicultrice
 

Adhérente depuis 93 en mention Nature et Progrès puis certifiée AB Ecocert en 94, entre Corinne Jaffeux et le châtaignier, c’est une histoire de passion depuis près de 20 ans. « Cet arbre est magique, il donne des fruits, on en fait des paniers, des charpentes… ». Son objectif : « habituer les gens à manger moins sucré. La châtaigne contient déjà jusqu’à 15 % de sucre selon les années. Sa spécialité, c’est la transformation. Elle a imaginé pour les gourmands une pâte à tartiner châtaigne-cacao-noisette, recette validée par ses enfants : « faire manger la châtaigne de manière détournée et ludique.

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Mathieu Lacan, éleveur de boeuf Angus

Jeune agriculteur installé depuis le 1er février 2016 sur la commune de Vauvert, j'élève un troupeau de bovins de race Aberdeen Angus en agriculture biologique. Ces vaches allaitantes d'origine écossaise sont réputées pour leur viande de haute qualié au goût affiné et au persillage caractéristique. Ces bovins s'adaptent parfaitement aux conditions de notre territoire de Petite Camargue car très rustiques et adaptés au système extensif. Mon cheptel est monté 100% à l'herbe et mes veaux suivent une courbe de croissance raisonnée en les laissant sous la mère sans complémentation. J'ai opté pour les circuits courts dont la vente directe qui correspond à mes convictions en ôtant les intermédiaires et en assurant le plus de traçabilité. J'ai fait de ma passion mon métier et j'espère vous communiquer cela à travers mes produits.

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Jérôme Laplane, glacier

En 1991, Jérôme reprend la ferme de ses parents, à 30 km de Marseille, avec l’objectif de prouver qu’il est possible de vivre d’une ferme familiale sur petite surface en zone péri-urbaine. Petit à petit, afin de mieux valoriser sa production, il abandonne toutes les ventes en gros au profit de la vente directe sur des petits marchés. Cependant, vendre sur cinq marchés lui prend beaucoup de temps et d’énergie, au détriment du travail sur sa ferme. Dans les années 2000, il commence à livrer en AMAP autour de Marseille. Il développe rapidement une relation privilégiée avec ses Amapiens et, grâce à ses partenariats, il s’investit pleinement sur sa ferme, améliore ses pratiques et se diversifie. L’obtention en 1998 de la certification AB a facilité l’entrée de Jérôme en AMAP. Depuis, il continue d’améliorer ses pratiques au-delà du cahier des charges de l’Agriculture Biologique. Grâce à la vente en AMAP il a pu, peu à peu, investir dans du matériel et se libérer du temps pour faire évoluer sa ferme suivant ses envies et les demandes des Amapiens, comme la fabrication de sorbets. Après deux ans de formation, il devient paysan glacier et fabrique des sorbets dans un laboratoire artisanal sur la ferme, à partir des produits bios cultivés sur la ferme. « Avec un goût simple et authentique et des ingrédients de qualité, ces sorbets sont la continuation de ma philosophie en tant que paysan.»

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Stéphane Maillard, paysan brasseur

Nous somme situés dans le Parc Naturel Régional des Préalpes d'Azur, à 1100 m d'altitude, au pied du Baou Roux dans la vallée de la Lane. Agriculteurs en Bio depuis 2000, notre histoire nous a conduit à créer une brasserie artisanale. Nos bières sont élaborées avec de l'orge et des houblons cultivés à la ferme. Nous élevons également des Vaches de race Salers, très friandes des drêches (résidus de malt après brassage), sur nos verts pâturages et dans les bois sauvages. Nos bières ne sont ni filtrées ni pasteurisées ce qui peut engendrer un dépôt naturel au fond des bouteilles et ne permet pas de les ouvrir à température ambiante. Nous vous conseillons de les stocker debout et de les déguster à 6°, après quelques heures de repos. Le taux d'alcool varie selon les saisons où l'eau est plus ou moins calcaire. Nous ne mettons pas d'additif pour le corriger. Des beaux jours de l'été à la neige de l'hiver, une amplitude thermique allant de 38°C à -18°C, toutes nos recettes sont élaborées en fonction de la qualité de notre orge, de nos houblons et de notre terroir.

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Marc Pichot, arboriculteur

Installé en 1989 sur les terres familiales, j’ai planté 4 hectares de clémentiniers, 2,5 hectares de pomelos et 3,5 hectares de prunes d’Ente. La culture du pomelo n’ayant pas connu l’essor attendu, je me suis réorienté vers des orangers. Puis la culture de prunes n’était plus viable, elle a donc été abandonnée. En 2001, j’ai eu l’opportunité de récupérer une partie de l’exploitation de mon père, à la retraite, pour y cultiver des kiwis, des citrons, des avocatiers et de l’immortelle. A cette époque, j’avais déjà décidé de me tourner vers une agriculture diversifiée et plus respectueuse de l’environnement. Depuis les années 2010, je me suis engagé dans l’agriculture biologique d’abord à travers les kiwis et aujourd’hui, toutes mes plantations sont en conversion ou en BIO sous le contrôle d’ECOCERT. Les clémentines sont en conversion AB et en label « IGP clémentines de Corse ». Aujourd’hui j’ai la volonté de faire connaître mes produits sur un circuit court garantissant une démarche environnementale certaine, de commercialiser des fruits avec une maturité optimum atteinte sur l’arbre et de faire redécouvrir les saveurs des fruits

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Théodore Planas-Rastoin, boulanger-vigneron

Ce jeune paysan-boulanger de 30 ans a plus d’une corde à son arc ; il cultive ses propres céréales, pétrit manuellement un pain bio à base de blés de variétés anciennes et nourrit un projet de construction de son propre atelier de boulange, en complément du laboratoire de vinification rendu nécessaire sur les terres de Meyreuil, terres familiales qu’il  fait revivre depuis trois ans en y plantant un vignoble qu’il travaille à la main dans le plus strict respect des règles Bio et laboure avec un cheval.
Passionné d’authenticité et respectueux de biodynamie, souhaitons à Théodore de mener à bien son projet d’éco-construction responsable.

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Sabrina Redon, rizicultrice

" Nous sommes agriculteurs en Camargue dans le sud de la France. L'agro-écolie est une approche agricole que nous pratiquons depuis une quinzaine d'années. Notre ambition est de réaliser une agriculture qui s'enchâsserait de manière harmonieuse dans le biotope camarguais.

Notre méthode de culture du riz agro-écologique très atypique a été mis en place depuis une dizaine d'années par Bernard Poujol : le riz est désherbé à l'aide de canards qui ont la particularité de manger les ravageurs (chironomes, pyrale, charançons aquatiques) et les adventices présents dans les rizières.

C’est une technique de désherbage du riz asiatique et que nous sommes les premiers à utiliser en Europe."

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Arnaud Rocheux, apiculteur

Apiculteur dont le rucher dans l’arrière pays varois, la « Provence verte », est encore à l’abri des activités agricoles intensives fatales aux abeilles, Arnaud bénéficie du label IGP 3 « miel de Provence » et son village de Correns est le premier village 100% bio ! Apiculteur par choix et par goût, Arnaud a suivi sa formation au lycée agricole de Hyères et, si nous avons eu un avant goût du travail de ses abeilles sur la lavande, il nous fournira désormais plusieurs variétés de miels, garantis sans traitement. 

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Elisabeth Rungette, nocicultrice

La bonne « Franquette » est la variété qui prospère depuis un demi siècle dans le verger de deux hectares de la famille Rungette, où Elisabeth respecte les techniques culturelles naturelles héritées de sa famille. Les noyers sont menés comme un potager, sans aucun traitement ni arrosage, les noix ramassées à la main, lavées à l’eau de source et leur territoire d’appellation Grenoble est garant d’un fruit de qualité fine.

Son certificat bio
Information sur la farine de noix
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Emmanuelle Vors, éleveuse

Pétulante et dynamique, Emmanuelle, éleveuse de veaux et de ces formidables chevaux « Franche-Montagne » dans la vallée de la Blanche, sait combiner élevage et activités de nature proches de ses bêtes : elle fait presque tout elle-même et ses animaux vivent en quasi liberté, la reproduction se fait en monte naturelle par son propre taureau et les veaux restent sous leur mère. La finesse de la viande qu’elle nous propose, le subtil parfum des pommes de terre qu’elle cultive séduisent les gourmands.

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Nicolas Wagner "le champiculteur", myciculteur

"Je me suis donné pour mission de créer l'entreprise « Le Champiculteur » afin de produire des champignons frais et bio, dans le département des Hautes-Alpes. J'affectionne la production agricole depuis longtemps, surtout lorsqu'elle est faite dans le respect de l'humain et de l'environnement. J'ai d'abord travaillé dans l'horticulture, puis dans le maraîchage bio inspiré de la permaculture. Finalement la culture de champignons est ce qui me correspond le mieux car je la trouve particulièrement permacole grâce :

- au recyclage : le substrat est composé à 90% de déchets agricoles, le site de production est un édifice vide et non utilisé jusqu'à présent, la récupération pour les outils de productions (exemple : les étagères sur lesquelles poussent les champignons sont faites de racks industriels et de skis usés qui étaient destinés à être jetés)

 - à la production de protéines non animales. Nous savons aujourd'hui que la production et la consommation de protéines non animales est un enjeu pour l'avenir de la planète.

- au respect de l'humain car c'est une activité moyennement exigeante physiquement, qui permet de se rémunérer correctement en pratiquant des horaires de travail acceptables.

- à la transformation du substrat en compost pour cultures maraîchères, (lorsqu'il a rempli son rôle pour la culture de champignons).

Le Champiculteur est situé dans la ville fortifiée de Mont-Dauphin dans dans les Hautes-Alpes. Ce choix a été motivé par l'absence de producteurs de champignons bio en région PACA ; la majorité des producteurs français se trouvant dans la région Centre, j'ai jugé utile de proposer un produit sain et local aux habitants de cette région. De plus, en plaçant la production dans la Caserne Rochambeau, bâtiment fortifié par Vauban, tout en bénéficiant d'un climat adapté, les champignons redonnent vie à cet édifice entretenu mais malheureusement inexploité. La vente se fait localement au travers de systèmes de vente au panier, sur les marchés, en magasins de producteurs et en magasins spécialisés."

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Cyril Mallet, amandiculteur

"Installé à Tallard depuis 2014, Cyril Mallet a aujourd'hui 12 hectares d'amandiers de 3 variétés différentes et il compte en planter d'autres parceque il écoule généralement toute sa production entre novembre et janvier.
Il ne vends que ce qu'il produit, il se refuse à en acheter ailleurs pour les distribuer.
Après récolte les fruits sont séchés puis décortiqués par 1 entreprise de Valensole.
Ensuite il les récupère pour le conditionnement, de leur côté les coques sont valorisées principalement en chaufferie. Ces amandes sont délicieuses à grignoter telles qu'elles ou en décoration de pâtisserie. "

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Aurelien Bergeron, Provence Aquaculture

Loups du Frioul issus d'agriculture biologique.
Nous sommes une petite ferme piscicole, et produisons des Bars (loups) issus de l'agriculture biologique sur le Frioul, au large de Marseille. Nous sommes les seuls producteurs de Loups "Bio" en France. Provence Aquaculture a le statut d’installation Classée pour la protection de l’environnement (ICPE), classement qui fait suite à une étude d’impact et au programme de suivi de l’impact de l’exploitation qui démontre l’absence d’impact remarquable de l’entreprise sur l’environnement. Trois lignes directrices orientent la production aquacole biologique : respect de l’environnement, respect du bien être animal, respect du consommateur. Des informations plus détaillées sont disponibles sur notre site web www.provaqua.com.

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